FRANCE
     
 

Extrait du Compte-rendu du week-end des 13 et 14 juin 2009 à Honfleur

Associés de France

« Au point où nous en sommes arrivés maintenant, marchons ensemble dans la même direction. » Saint Paul

19 associés ont pu partager ce temps privilégié.

Samedi

Arrivée à midi pour un repas à l'auberge de la Claire, puis, bien installés et accueillis à l'école Notre-Dame – St Joseph, nous procédons à la passation des pouvoirs entre Sr Marie-Armelle Girardon très vivement remerciée et notre nouvelle « présidente » Sr Thérèse Poizat , très chaleureusement accueillie. C'est l'occasion pour Sr Marie-Armelle de faire un court et trop discret bilan de ses années de déléguée aux associés pendant lesquelles, elle a su élargir notre groupe, le responsabiliser et créer l'atmosphère familiale et spirituelle, marque de la CND, que nous apprécions tous. « Nous sommes tous chercheurs de Dieu ! »

A 16h, rencontre avec des sœurs de Normandie, venues nous rejoindre à Honfleur : Marie-Édith Thomas du Havre, Monique Droguet et André-Joseph de Tourlaville, Geneviève Richer et Odile Brongniart de Lisieux, Marie-Bénédicte Cornu et Geneviève, la sœur de Magdeleine Solau. L'échange, très vivant, est pour chacune et chacun, l'occasion de présenter aux autres ses activités diverses, ce qui est d'une grande richesse et nous fait ressentir la proximité de plus en plus grande entre nous. La réunion s'achève par un goûter dans la cour ensoleillée de l'école.

Après réception des chambres d'hôtel, retour à l'école où Sr Thérèse invite les associés à faire des propositions concernant l'avenir :

•  Sabine souhaite une présence plus importante aux réunions parisiennes ainsi qu'un enrichissement des contacts internationaux et une participation au site des associés ( http://www.alix-pierre-associated.org ). A ce propos, il est décidé qu'un CR du WE, remanié, sera intégré au site, ainsi qu'un court exposé sur les archives, effectué par Marie-Rose Giros.

•  Régis, Françoise, Josik, Béné : Cultiver la spiritualité de Mère Alix et de Pierre Fourier. Pour cela, pourquoi ne pas réfléchir (après lecture préalable individuelle) avec Sœur Thérèse du Peyroux comme analyste et animatrice, sur la « Relation » de Mère Alix ?

•  Claude porte la discussion sur les réunions régionales (Normandie, Nord, Centre-Est, et pourquoi pas la région parisienne ?

Repas, puis temps de prière.

Dimanche

Messe à 10h à Sainte Catherine, puis découverte de Notre-Dame de Grâce qui domine l'embouchure de la Seine. Le soleil est encore bien présent.

Envoi vers 15h, après le déjeuner

Dominique et Chantal Pellet

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  Comment une associée devient « aide-archiviste ».

Autrefois, les archives de la Congrégation Notre-Dame avaient leur place dans chaque maison de la Congrégation et celles du Généralat étaient à Rome.

A l'heure actuelle, les archives du Généralat et celles des maisons qui n'existent plus, sont regroupées à Fontenay-sous-Bois, à côté du Généralat, dans un local très bien équipé, à température et hygrométrie constantes, avec bureau pour l'archiviste et salle de lecture.


La religieuse archiviste, Sœur Marie-Paule Sieffert, avait besoin d'aide et l'avait signalé dans un numéro du CND. C'était le moment où je me demandais ce que je pourrais bien faire pour la Congrégation, en tant qu'associée.

Ce travail m'a tout de suite attirée, j'ai donc proposé mes services, en insistant sur mon incompétence…, et je ne regrette pas cet engagement.

 

Je me sens très bien aux côtés de Sœur Marie-Paule qui a une patience infinie et puis, il y a l'accueil des sœurs du Généralat, à la fois cordial et simple.

 

Ces archives me font découvrir un passé très riche et très complexe. Elles permettent de comprendre comment l'élan des fondateurs s'est transmis de génération en génération.

Il y a là les livres, témoins de la culture et de la piété de nombreuses religieuses.

Il y a les travaux souvent remarquables de certaines d'entre elles.

On y trouve le récit d'événements traversés par les communautés avec un courage admirable.


Je pense que nous avons à transmettre et à faire connaître ces richesses, c'est une belle « nourriture » pour les prochaines générations.

 

 

Marie-Rose Giros – Associée France

 

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